vendredi 27 novembre 2009

Les excroissances urbaines anti-SDF se multiplient à Paris (ou ailleurs), et repoussent les démunis vers des zones encore plus inhospitalières. Cette violence ordonnée, indifférente aux souffrances d’autrui est une réponse silencieuse et paradoxale à l'ultime précarité, en n’améliorant que la qualité de vie des parisiens dérangés par la misère de france. En réalité, ces initiatives (collectives, privées, publiques), ne participent qu’à la dégradation des relations humaines, et au triomphe égoïste de l’individualisme.

Aucun commentaire: