« la grève générale ne se décrète pas ». Mais si on refuse de peser en ce sens, si on émiette les rendez-vous comme l’ont fait les syndicats, c’est parce qu’on ne veut pas y aller, parce qu’on refuse toute véritable épreuve de force avec Sarkozy et le MEDEF. Comme l'a dit un responsable de la CGT, « plutôt que de nous appeler à faire cinq ou six journées dans le semestre, qu’ils nous appellent à faire cinq ou six jours consécutifs. Et on verra bien ce que cela donne."
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